Combattre les plantes aquatiques envahissantes
Bien que joli, un plan d’eau recouvert d’un tapis végétal est souvent le résultat d’une prolifération de plantes aquatiques exotiques importées dans le cadre d’activités commerciales ou de loisirs.
Mieux gérer les eaux (usées et pluviales) pour appréhender les risques d’insalubrité, de pénurie ou d’excès.
L’eau, en façonnant nos paysages et nos climats, façonne nos cadres de vie mais aussi ceux de nombreux êtres vivants. Les zones humides abritent une biodiversité exceptionnelle dépendante du milieu. Soumise à des pollutions multiples, à la surexploitation, à l’introduction d’espèces invasives et aux conséquences du dérèglement climatique, l’eau est de plus en plus menacée. Elle est aussi de plus en plus menaçante, particulièrement en période de fortes intempéries. L’entretenir et la préserver, au-delà de l’utilisation que nous en faisons pour nos besoins domestiques, est donc un enjeu clé pour améliorer nos conditions de vie, protéger la biodiversité et sécuriser nos territoires.
Nous présentons des solutions réplicables identifiées à ce jour par Kick asbl. Il en existe sûrement d’autres ! N’hésitez pas à partager vos propositions en contactant info@dev.kickbelgium.be.
Bien que joli, un plan d’eau recouvert d’un tapis végétal est souvent le résultat d’une prolifération de plantes aquatiques exotiques importées dans le cadre d’activités commerciales ou de loisirs.
Dans nos cours d’eau coulent chaque jour des milliers de m³ d’eau et avec eux leur cortège de déchets. Arrivés dans l’eau suite à la négligence ou parfois à des comportements irresponsables, ces déchets posent de gros problèmes à la biodiversité.
Bénéficier de l’eau courante au quotidien nous paraît être une évidence. Cependant, pour que nous puissions utiliser cette eau, un seul bâtiment peut parfois compter plusieurs centaines de mètres de conduites et des dizaines de robinets, toilettes, douches etc.
Les mares constituent un écosystème vital pour de nombreuses espèces d’amphibiens, d’insectes et de plantes. Or, les politiques de rationalisation des surfaces agricoles entamées à partir des années 1960 ont eu pour conséquence l’assèchement de nombreuses mares et zones humides.